22 ans ✘ Célibataire ✘ Agent d'entretien au musée ✘ BLACKHEART
only words
Je suis la vipère qui viendra mordre ta chair à la nuit tombée. Comme le poison qui s'insinue en toi sans savoir comment tu l'as ingurgité. La salope qui ne quittera plus jamais tes pensées. Je me délecte de la dureté de la vie et de l'impression qu'ont certains que demain sera le jour de la fin. Je ne rêve pas, ne parle que lorsque je le dois. Invente les choses comme on dessine au fusain, sans penser au lendemain. Je raconte des bobards à la volée sans jamais ne me faire remarquer. Je respire tandis que les autres crèvent, et je me plais à me croire plus douée que la plupart de ses êtres bourrés de débilité. Je manipule si bien que je ne suis jamais accusée, trop belle petite poupée. J'ai appris à croire qu'au départ je vis pour moi. Et enfin je me moque de ces snobinards qui tard le soir ne savent pas contrôler l’érection fatale que la pauvre petite Helen peut provoquer en eux. Je suis virale.
everything else
Quelque chose à ajouter ? Ici, c'est pour le reste. Tout ce qui vaut la peine d'être su sur votre perso. De sa couleur préférée à son premier animal de compagnie. Une case libre pour se doit d'être dit.
✘ LOVE IN NEW YORK ✘
Je remonte mon bas le long de ma jambe quand l’homme qui se tient allongé face à moi pousse un grognement. Je ris de son idiotie, de ses airs amoureux, et je crache sur tous les espoirs qu’il pense mettre en moi. De son sommeil calme et posé quand je suis certaine qu’il est en train de rêver à l’avenir que lui et moi nous n’aurons jamais. Je lui ai vendu du rêve hier soir, comme certaines vendent leurs corps, du rêve contre le vent, quelques mots pour l’attirer dans mes filets. Une veuve noire angélique, qui baise la vie avant que cette dernière la nique. J’ai crié, juste lorsqu’il le fallait, soupiré quand ses souffles se perdaient dans ma chevelure blonde qu’il accrochait de ses doigts, murmurant sans arrêt un « Helen encore une fois. » Je passe à l’autre bas et il se retourne dans un soupir que maintenant j’ai l’impression de connaitre. Son visage qui la veille m’attirait ce matin ne semble que me dégouter. Alors je gagne en rapidité pour me rhabiller, je n’ai pas envie de devoir lui parler, faire semblant de l’apprécier pour au final lui cracher au visage mon venin, parce que cela fini toujours comme cela les matins.
Je remonte sur mes talons trop hauts, je vacille un peu de fatigue et des vapeurs d’alcool d’hier soir. Je ne crois pas avoir la gueule de bois, non, cela ne m’arrive que très rarement ça. Juste que j’ai du mal à retrouver mes esprit, mais je ne m’inquiète pas dans quelques secondes ce sera bon, il n’y a pas d’autres solutions. Je me dirige vers sa salle de bain, histoire de marquer le coup, et putain, je peux me vanter d’être plutôt douée à ce sujet. Je me délecte lorsque je sors mon rouge à lèvre afin d’écrire sur le miroir une insulte bien placée. Je veux marquer son esprit et qu’il ne veuille plus jamais me revoir. Je veux devenir pour lui une cicatrice qu’il ne pourra jamais effacer. Une fois dans le couloir, je m’allume une cigarette, m’intimant que ce n’est pas bien mais qu’à l’évidence le bien n’est pas pour moi. Je regarde mon téléphone pour la première fois depuis hier soir, y découvre trois messages de la part de papa. Je lève les yeux au ciel, me souvenant encore une fois du jour où je suis partie de chez moi, il ne voulait plus de moi à l’époque alors pourquoi me voudrait-il maintenant ? Je supprime donc les messages avant même de les lire, je suis certaine qu’il n’a rien de bien à me raconter, et puis si un jour c’est important, connaissant mon père, je suis persuadée qu’il saura où me trouver.
Mon regard se perd un peu dans l’heure qu’il est, je me suis couchée trop tard et levée aussi à l’évidence, alors clope au bec, j’accélère à nouveau mes mouvements, je prends mon service dans dix minutes. Je tourne à un embranchement, me fais siffler par une bande d’ouvrier, en réponse à leur avance je leur montre mon plus joli doigts et quand je m’éclipse de l’autre côté d’une rue, je les entends encore rigoler. Je soutiens le rythme de mes pas, entrevois la devanture du musée où je fais mes exploits. Je soupire une fois, jette ma cigarette non terminée, remets mes cheveux en place, me flanque un sourire angélique sur le visage et quand j’entre j’entends de suite mon équipier prononcer « T’as failli me manquer, mais te voilà. » Je me force à ne pas avoir la nausée, me dégoute de lui comme on respire, sans y penser. « T’étais où hier ? » J’oublie parfois que je vis avec lui et que forcément il se pense légitime de me demander des comptes. Même si nous ne sommes rien, parce qu’être à deux signifie détruire l’autre de mon point de vue, alors je préfère largement être avec moi. Je m’arme d’une moue bourrée de gentillesse, jongle avec les expressions de mon visage, oublie le vrai du faux. Et puis, en un sourire surfait, je lui dis dans un murmure presque parfait « En train de me faire baiser, t’aurais adoré regarder. »
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✘ SKIN AND BONES ✘
Bonjour New York, je m'appelle Mortimer mais je réponds aussi au nom de Roger. Je suis une chose âgé de 100 ans. Mon personnage est un personnage inventé qui porte le visage de Beatrice Martin. Ce compte est mon millième. (Je souffre parfois d'un dédoublement de la personnalité. Vous pouvez me retrouver sous les noms suivants : je sais plus.) J'aimerais terminer en vous disant que RRRrrr
REBEL ; without a cause - Admin
Shawn Ross
Nombre de messages : 757 Localisation : Directeur du centre Occupation : Délinquant cambrioleur. Humeur : Heartbroken