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| you're to blame {Chuck&Amber} | |
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AMBER ♦ blond ambition - Admin
Amber McMillian Nombre de messages : 367 Localisation : NYC Occupation : Beauty Queen Humeur : Going Crazy. Avatar : Blondie
| Sujet: you're to blame {Chuck&Amber} 25.08.10 17:11 | |
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Amber ferme les yeux, refusant de se regarder dans le miroir. Elle est « conviée » à une de ces stupides soirées. En plus de ne pas choisir sa robe, elle n’a pas choisi de cavalier, on lui en a donc choisi un. Cette soirée promet d’être atrocement ennuyante. La jolie blonde s’esquive d’un coiffeur qui tente de lui faire la même coiffure bouclée qu’à toutes les autres. Plutôt que de sortir vers la limousine qui conduira leur petit groupe, Amber passe à la salle de bain. Accoudée sur le bord du lavabo, elle se laisse enfin aller à se regarder. Une longue cascade de cheveux décolorés lui encadre le visage. Elle a la peau pâle, encore plus diaphane qu’elle ne l’était déjà. Amber examine la façon dont ils lui ont peinturé le visage. Une teinte rosée aux lèvres, elle plonge la main dans son sac et en retire un rouge à lèvre digne de ce nom. Après en avoir généreusement appliqué une couche, elle essuie du doigt l’ombre à paupières couleur pastel qui lui entoure les yeux pour remplacer le tout d’une épaisse couche de noir. Voilà, elle n’est plus la salle gamine qui fait ce qu’on lui demande. Ce qu’elle ne veut pas voir dans le miroir, c’est une silhouette encore plus chétive qu’elle ne l’était déjà. Des cernes sombres, maintenant dissimulées sous le maquillage. Amber ferme les lèvres et serre les poings, avant de regarder son avant bras où rien ne parait plus. Plus aucune trace du mal qu’on lui a fait et qui la ronge de l’intérieur. Une main avait laissé sa marque. Pour disparaitre, comme le bon sens de son auteur. Alors Amber aborde un sublime sourire de vamp, sachant qu’elle sera quand même la plus belle.
Le maquilleur lui lance un regard noir, et Amber se dirige vers la limousine, ignorant totalement un grand blond lui tendant la main. Une fois dans le véhicule, la jolie blonde se laisse imprégner par l’ambiance et accepte une coupe ou deux de champagne. Personne ne semble savoir ce qu’ils vont faire là-bas, et ça conviens à Amber. Pour ne pas se faire crier dessus demain matin, elle accepte cette fois la main tendue qui l’invite à sortir de la voiture. Il se trouve que le jeune homme semble charmant. Alors elle jour le jeu, sourit, s’accroche à son bras. C’est alors qu’il lui murmure à l’oreille, d’un souffle indécent : « Tu es à couper le souffle, ce soir » Amber en perds le souffle, c’est le ton, la façon dont c’est dit, avec un peu d’admiration. Un geste d’affection gratuit, alors qu’elle n’arrive pas à s’aimer depuis un moment. Alors Amber reste là, un moment, à jouer, flirter devant les caméras. Et sans prévenir, le grand blond posa ses lèvres sur les siennes. Amber ne dit rien, elle apprécia seulement le contact, aimant le regard brillant de son cavalier, alors qu’il allait lui faire passer les portes de la soirée.
Pourtant, la jolie blonde n’avait pas vu un grand brun sortir d’une limousine, au même moment qu’elle se faisait embrasser. Mais c’est tellement mieux ainsi. Elle aurait figé, aurait serré les dents pour ne pas pleurer, pour ne pas en faire une scène publique. Au lieu de ça, elle laisse un beau blond prendre sa main et la glisser vers une table où d’élégants cartons indiquent leur nom. Si Amber avait pris le temps de regarder autour de la table, au lieu de dans les grands yeux bleus de son compagnon, elle aurait vu qu’il y a un nom qu’elle ne connaît que trop bien. La vie qui s’acharne à mettre Chuck Van Der Woodsen à sa table! Qui a dit que la vie N’était pas cruelle.
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▌Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires. ; Charismatic Admin
Chuck Van der Woodsen Nombre de messages : 628 Localisation : New York Occupation : Rédacteur en chef d'un grand magasine. Humeur : Dévastatrice.
| Sujet: Re: you're to blame {Chuck&Amber} 01.03.11 14:13 | |
| Et puis je n'ai pas envie, me saoule déjà de cette nouvelle vie. Un père, un ennemi, un ami, parfois ... Tout ça je ne sais pas, j'ai mal au ventre. Je n'aime pas ça, tout, absolument tout. L'odeur, les filles qui sont avec moi. Me surprends à penser à mon ami, le seul surement. Putain, Charlie. Je souffre de boire un champagne trop cher, trop bon et dégueulasse à la fois. Je soupire, expire, m'en veux d'être en vie. Pourtant, c'est juste comme ça, les enfants se doivent de survivre aux parents ... Oui, comme ça, la vie, Chuck, tu vois ? Rien a voir avec mon magazine, rien à voir avec toutes ces conneries, futilité qu'on se plait a raconter. Bordel, c'est juste qu'on vit pour crever. La limousine roule toujours, et je me rends compte que c'est la première soirée que je fais depuis quelques semaines déjà. Et ils ont dit, que je me devais d'y aller. Que mince, Chuck Van der Woodsen était trop important pour disparaitre. Je leur en foutrais dans la gueule, des disparitions moi. Putain, putain, quoi. Mon esprit semble ailleurs, et même les bulles de ma boisson n'aident pas. J'ai mal, dieu, tu vois. Et je me sens plus paysan que jamais, comme si le faux prince n'avait jamais existé. Prince ? Non, il paraitrait que je suis passé au grade de roi. Un héritage que j'ai reçu, rien que pour moi. Je n'ai pas compris, non, réellement pas. Jessy n'a rien eu, ou tout du moins, juste une maison, loin de là, je crois même qu'elle y a déménagé ... Je perds mon père et ma sœur dans le même mois. Et j'en reviens même pas de me sentir triste pour elle, pourquoi ? Pourquoi c'est moi qui ait tout, absolument tout. Merde, quoi. La limousine se stoppe, et j'aimerai la faire exploser de me demander de revenir à la réalité. Et je sors, pimpant, souriant, tout simplement grand. Je crois que des journalistes prennent des photos, je ne sais pas, je suis aveugle depuis que je n'ai plus mon papa. J'avance, fièrement, le cœur en bandoulière et l'esprit pendu quelque part entre rêve et magie. Je pourrai mourir moi aussi, aujourd'hui. De tristesse, comme on dit. J'avance dans la salle, mes cavalières aux bras, parce qu'ils ont pensé que c'était bien de montrer que je n'avais pas changé. Victime de mon image dépravée. N'importe quoi. J'attrape un verre à la main de serveur, lui lance une réplique cinglante au visage, parce que c'est moi. Et puis je suis cette dame là, celle qui a du être engagé pour prendre soin de moi. Parce qu'ils s'inquiètent, ces cons là. Elle désigne ma table, et mon champagne ne fait qu'un tour dans mon estomac. - Suis-je obligé de m'assoir ici ?que je lui crache au visage tout en regardant celle qui est déjà placée. Amber McMillian, l'oubliée.
Dernière édition par Chuck Van der Woodsen le 24.03.11 10:20, édité 1 fois |
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AMBER ♦ blond ambition - Admin
Amber McMillian Nombre de messages : 367 Localisation : NYC Occupation : Beauty Queen Humeur : Going Crazy. Avatar : Blondie
| Sujet: Re: you're to blame {Chuck&Amber} 24.03.11 4:57 | |
| Alors que les lumières tamisées laissent briller les diamants des dames, Amber se sent plutôt l’âme d’un morceau de charbon. C’est mauvais, de se retrouver en public. C’est trop tôt, crie chaque cellule de la jolie blonde. Les gens sont envahissants, l’air est lourd, mais tout ça est dans sa tête. Les minutes ne font qu’aggraver cette agoraphobie fraîchement développée. Que faire quand on a été blessée, sinon que de craindre ceux qui pourraient potentiellement nous écorcher. Le problème ou la bénédiction est qu’il n’y a qu’un seul Chuck. Le genre d’homme que personne ne devrait tenter d’aimer. Amber sourit, ce genre d’expression qu’on porte pour cacher ce qui serait inévitablement une grimace. Une main agace la sienne et si son cœur était entier, probablement aurait-elle la force de s’évader d’une remarque bien placée. Autant de possibilités qui resteront inconnues puisqu’elle n’est plus que cette carcasse. Ce petit tas d’os qu’on jette aux rapaces. Venez vous nourrir de ce qu’il reste, n’hésitez pas à prendre sans vergogne. Amber, étourdie, endormie, ailleurs, fige lorsqu’elle entend une voix.
- Suis je obligé de m'assoir ici ?
Le mépris fait aussi mal qu’une lame de rasoir au travers de sa gorge. Ce ne sont pas ses muscles qui figent, mais tout ce qu’il reste d’elle jusqu’au bout des ongles. Amber se mord l’intérieur de la joue pour ne pas penser à ce que cette voix évoque. Une nuit, un hôtel, un déjeuner, une mort, un enterrement, le sien. Mission accomplie, Chuck, Amber est belle et bien en décomposition, dans ce cercueil si généreusement offert par Mr Van der Woodsen. Amber cesse de respirer, sachant que quelque chose d’aussi bénin apportera son lot de larmes. Non, Chuck n’aura pas le bonheur de la voir pleurer. Quoi qu’il n’en a probablement plus rien à faire. Un jouet brisé est bon pour la poubelle, à quoi bon le réparer. Chuck est l’exemple même de la surconsommation, n’est-ce pas le message qu’il envoie avec une poupée à chaque bras. Poupée de chiffon, beauté sans substance, corps qu’on vend comme un accessoire de la saison. Amber laisse un minimum d’air entrer ses poumons, juste assez pour ne pas suffoquer, pour ne pas en faiblir. Sa tête se relève, droite. Et elle s’écarte de son accessoire à elle. Elle est mieux que ça, et quelque part, sous les morceaux d’elle-même, Amber le sait. Elle se lève, du haut de souliers à talons qui ne sont pas faits pour la vraie vie et aussi stoïquement qu’elle le peut, elle ouvre la bouche, pour répliquer. N’est-ce pas ça qu’ils ont toujours fait, être déplaisants l’un envers l’autre.
« Bien sur que non! Depuis quand est-ce que Chuck fait quoi que ce soit qui ne lui plait pas ? Ce serait une première! »
Amber sens ses jambes trembler et ça n’est pas cette paire de souliers, mais la présence de Chuck. Elle voudrait s’enfoncer six pieds sous terre et attendre qu’il passe comme la tornade qu’il est. Dévastant son corps, son cœur et sa tête. Il ne reste rien, n’a-t-il pas réalisé les joues creuses d’Amber et le maquillage si fort pour cacher la dévastation des cernes et des larmes. N’ayant plus rien à perdre, Amber ajoute :
«Grandis un peu! Tu ne peux pas être le garçon à papa pour toujours! » « Grow up! You can't be Daddy's boy forever! *
Sentant sa lèvre inférieure trembler, Amber tourne le dos à cette table, essayant de repérer l’endroit où le champagne est servi. Malheureusement pour Amber, le bar est juste à sa droite. Elle ne s’éloigne de Chuck que de quelques mètres, sentant son dos la brûler, incapable de retourner s’asseoir, absolument horrifiée à l’idée de quitter la soirée avant Chuck. Une gorgée et après je bouge, se dit Amber, sans préciser laquelle.
* Je sais pas si tu vois la nuance, ça sonne pas aussi bien en français -_- |
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▌Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires. ; Charismatic Admin
Chuck Van der Woodsen Nombre de messages : 628 Localisation : New York Occupation : Rédacteur en chef d'un grand magasine. Humeur : Dévastatrice.
| Sujet: Re: you're to blame {Chuck&Amber} 31.03.11 8:00 | |
| Je ne respire pas, me contente d'attendre, une colère naissante en moi que je ne me connaissais pas. Ou peut être que si, je ne la connais depuis le jour où ils m'ont enlevé le père que je disais ne pas aimer. J'ai envie de hurler pour que le service soit plus rapide, qu'on déménage mes affaires et autres cocktails à une autre table. Leur dire que je ne suis pas n'importe qui, alors je ne m'assoie pas à la table d'une simple mannequin ... Je suis trop important pour ça. Je l'ai dis, je suis passé au grade Roi, bordel.
« Bien sur que non! Depuis quand est-ce que Chuck fait quoi que ce soit qui ne lui plait pas ? Ce serait une première! »
Je fronce les sourcils à sa phrase, lui offre un regard des plus méprisants, et j'ai envie de lui cracher au visage que ce sont les avantages lorsqu'on est plus riche que la moitié de la ville réunis. J'ai envie de la claquer de vouloir me faire perdre la face devant toute une assemblée. Elle ne sait pas que je pourrai la faire virer de la salle autant que de son travail d'ailleurs ? Laisse tomber Amber, je suis maintenant trop puissant pour toi. Il me semble, me revient à l'esprit, que je t'avais dis de dégager de ma vie, non ? Ne m'oblige pas à faire ce que je peux pour mettre cette phrase à exécution. Je te hais comme tu peux me respirer, m'aimer.
« Grow up! You can't be Daddy's boy forever! »
Cette fois ci j'incline mon visage, souris aussi grandement que je le peux. Il n'y a rien d'autre que de la haine dans tous les gestes que je fais. J'aimerai me dire que je n'ai jamais fais la connerie de lui faire croire qu'il pourrait y avoir autre chose entre elle et moi qu'un simple jeu. J'ai peut être fais une erreur de calcul, je l'avoue. Je n'avais pas imaginé qu'un je t'aime me claquerai le visage le jour de son enterrement.
J'essaie de me contenir, parce que nous sommes entourés, en public Amber, tu saisis la nuance des choses ? A l'évidence, non. Je respire lentement, me dis qu'elle se doit de remarquer que sans elle, je respire beaucoup mieux d'ailleurs. Je redresse mon visage, me tiens droit, comme mon père le faisait, je crois. Et je laisse mes yeux balayer la salle du regard. Tout le monde attend, comme s'ils étaient tous sur pause, à vouloir entendre la réaction de Charles Van der Woodsen.
Et comme s'ils étaient devant un spectacle des plus hallucinants, je me mets à applaudir de toutes mes forces, de toute ma tristesse, de toute ma haine. Et de toutes les pores de ma peau. Je pourrai même dire de tout mon cœur, si j'étais aussi mélodramatique qu'elle.
- On a tous nos démons, Amber chérie, dis moi, as-tu arrêté de t'abimer ?
Je lui dis devant toute une assistance attentive. Tu voulais me ridiculiser, montrer au monde que tu es force, que tu sais être la meilleure ? Explique maintenant pourquoi tu as mis si longtemps à te sortir de cet enfer dans lequel tu t'étais enfermé. Explique comment une fille qui a tout peut en venir à se mutiler. |
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AMBER ♦ blond ambition - Admin
Amber McMillian Nombre de messages : 367 Localisation : NYC Occupation : Beauty Queen Humeur : Going Crazy. Avatar : Blondie
| Sujet: Re: you're to blame {Chuck&Amber} 05.04.11 19:49 | |
| Amber ferme les yeux, attendant les mots qui l’enfonceront un peu plus. Elle voudrait avoir la force de quitter cette salle à toutes jambes. Sauver sa peau pendant qu’il est encore temps. Pourtant, présence de Chuck l’intoxique. Elle s’enivre de la souffrance qu’il lui procure à simplement respirer. Chuck, c’est la pire des drogues. Il n’existe aucune cure, aucun centre de détoxication, aucun échappatoire. Il est tatoué sous sa peau, encré dans sa chair, poinçonné sur son cœur. Allez, Chuck, fais la souffrir encore un peu. Ça vous plais à tous les deux il faut croire.
- On a tous nos démons, Amber chérie, dis moi, as-tu arrêté de t'abimer ?
La voix de Chuck est veloutée. Des lames recouvertes de velours. Amber ne cille pas, elle fige. Les mots glissent lentement jusqu’à son esprit. Bien sur, Chuck la connaît. Pas assez, pas vraiment, mais il sait où frapper. Les gens détournent le regard. Ne regardez pas la poupée aux bras lacérés. Elle vous arrachera les yeux, elle vous contaminera de son sang. Chucky au féminin, vous connaissez ? C’est ce que Chuck est en train de faire d’Amber. Il la transforme petit à petit en cette version détraquée et dérangée de lui-même. La réplique ne fait pas aussi mal que Chuck l’aurait souhaité. Amber se retourne, un sourire satisfait sur le visage. S’il croit que les mots peuvent la briser. Il a déjà dit les pires atrocités. Et elle est toujours là, petite chose qui lutte pour survivre. Montrant ses avant bras en avant, Amber se fait faussement pensive.
« Oh, tu sais, rien qu’un peu de maquillage ne puisse pas cacher . . . »
Les blessures qui restent vraiment, sont les bleus à son âme. Tu devrais le savoir, Chuck, c’est toi qui a joué au tortionnaire. Amber s’avance lentement. Se cacher, fuir, commencer une autre partie de ce jeu sans fin, c’est lassant. La blonde veut en finir. Frapper fort et ne pas se relever. Peu importe qui portera le coup final. Ils seront tous deux délivrés de ce lien étrange qui les pousse tous deux à vouloir se faire du mal. Du haut de ses talons, Amber est presque aussi grande que Chuck. Déplaçant une des poupées écervelées de Chuck, elle lui murmure à l’oreille :
« Oh, tu peux faire mieux. . . Regarde je suis toute neuve maintenant. Ne me dis pas que tu ne veux plus jouer. . . »
Amber laisse échapper un petit rire ironique. Ce sera jusqu’au bout ou pas du tout. Ils sont déjà embarqués dans ce navire et ils couleront avec lui. Amber retourne à sa place et fixe Chuck d’un air de défi. Elle n’a rien à perdre. Il a tout pris, pourquoi ne pas essayer de le faire tomber, lui aussi. À la vie à la mort, il y a des jeux qui ne peuvent pas finir autrement.
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▌Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires. ; Charismatic Admin
Chuck Van der Woodsen Nombre de messages : 628 Localisation : New York Occupation : Rédacteur en chef d'un grand magasine. Humeur : Dévastatrice.
| Sujet: Re: you're to blame {Chuck&Amber} 07.04.11 17:01 | |
| Je regarde ses gestes, les trouve surfaits, non-contrôlés, trop pensés. Bien trop faux pour être vrais. Elle n'est pas pensive, ne semblent que l'être. Et qu'elle réponde n'importe quoi, cela ne m'atteindra pas. Je lui rirai au nez, lorsqu'elle plaidera que tout cela c'est du passé. Et qu'elle comprendre que la pseudo histoire, le soit-disant lien qui nous unissait lui aussi, il en fait parti, du passé.
« Oh, tu sais, rien qu’un peu de maquillage ne puisse pas cacher . . . »
Elle me dégoute à jouer les grandes, alors qu'elle semble si petite. Là devant moi, à ne pas se souvenir que les brisé plus d'une fois. Dis moi Je t'aime, pour voir comment tu t'en sortiras cette fois. Je parie que tu pleureras avant même que j'ai commencé à parler. Dégage de mon monde, devrais-je te supplier ? Oublie cette possibilité, je te casserai en mille morceaux. Tellement petite, petite Amber ... J'ai de l'argent à donner, je ne le placerai pas dans une œuvre de charité, je ferai les premiers pas pour que tu n'existes plus ici. C'est à peine si on se souviendra de toi. Réfléchi avant de parler, tu signeras peut être ton arrêt de travailler ainsi que celui d'exister.
« Oh, tu peux faire mieux. . . Regarde je suis toute neuve maintenant. Ne me dis pas que tu ne veux plus jouer. . . »
Alors j'esquisse un sourire, parce qu'elle m'offre une autre opportunité de lui prouver qu'elle n'est plus rien pour moi. Et puis de toute façon, elle n'a jamais été quelque chose. Il faut arrêter de penser le contraire. On a même jamais commencé à jouer, si on y réfléchit. Elle m'a prise au dépourvu toutes les fois, le soir de mon anniversaire, le jour de l'enterrement de mon père. Putain, mais tu me laisses en paix maintenant ?
Parce qu'il faut se rendre à l'évidence, le monde pourrait se passer d'Amber MacMillian, mais jamais il ne pourra imaginer une journée sans Chuck Van der Woodsen. J'en ai marre de tout ça, ne reste qu'un point positif dans cette histoire je n'ai pas pensé à mon père pendant l'espace de dix secondes. Merci, Blondie.
- Neuve ? Non, tu n'es qu'une seconde main. |
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AMBER ♦ blond ambition - Admin
Amber McMillian Nombre de messages : 367 Localisation : NYC Occupation : Beauty Queen Humeur : Going Crazy. Avatar : Blondie
| Sujet: Re: you're to blame {Chuck&Amber} 11.04.11 2:19 | |
| Amber retourne à sa place. La présence de Chuck commence à lui faire l’effet d’un baume. Il est là, et elle s’en fout qu’il soit le plus Chucky des Chuck. C’est malsain, c’est évident. Mais allez-dire ça à un Junkie qui vient d’avoir sa dose. Amber fait tourner sa coupe de champagne, son esprit souhaitant un verre de lait. Son estomac vide fait des siennes et elle va se retrouver à délirer sur les bulles après seulement quelques verres. Elle soupire, savourant sa gorgée. Chuck n’est jamais bien loin et cette table sera bientôt trop petite pour eux deux. Mais ça n’est rien, tout est trop petit, trop insignifiant pour le grand Chuck.
- Neuve ? Non, tu n'es qu'une seconde main.
Les mots claquent, mais ça n’est rien qu’Amber ne sache déjà. Elle sait se regarder dans un miroir pour lire les traces de chaque mot et de chaque insulte à avoir passé les lèves de Chuck. Elle le sait, mais elle est toujours là. Tu peux faire mieux Chuck, brise la comme un édifice que tu devras détruire étage par étage, pas comme une porcelaine que tu n’as qu’à jeter au sol. Ça fait un bail qu’elle est plus solide que tu ne le crois. Mais tu vois, c’est ta faute. C’est de passer du temps en ta compagnie qui a rendu plus forte la petite fille qu’elle a toujours été. Amber n’est qu’une enfant, et tu peux jouer, si tu veux. Mais ne pense pas que tu peux la faire grandir. Sans vraiment y pense, la blonde ouvre la bouche.
« On dit Vintage et c’est très en vogue! »
Si Chuck savait les montages que l’on paie pour du Chanel d’époque. Amber croise les jambes sous la table, le bout de ses pieds se retrouvant dans le vide. Elle en a un vertige. Ça ferait trop plaisir à Chuck, qu’elle s’évanouisse en sa présence. Elle doit avoir l’air hallucinée, un peu folle probablement, mais ça n’est pas nouveau. Chuck les aime dérangées, détraquées, comme lui. Amber se contente d’étirer les lèves en un sourire tout aussi faux que tous les autres. Un masque contre un autre, ça ne fait pas de belles histoires.
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