▌Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires. ; Charismatic Admin
Chuck Van der Woodsen Nombre de messages : 628 Localisation : New York Occupation : Rédacteur en chef d'un grand magasine. Humeur : Dévastatrice.
| Sujet: Le nouveau Chuck. Charismatic Admin. 25.08.09 16:47 | |
| Nom : Van der Woodsen Prénom : Charles Bart. Surnom : Chuck. Age : 24 ans Profession : Rédacteur en chef du magazine Imagine. Groupe : Angela & Co Avatar : Ed Westwick
EN DETAIL Histoire (7 lignes minimum) :
« Ecrire pour exister. »
Je suis née, un matin d’automne. Contre le grès de mon père. Et pour le bonheur de ma mère. Pourtant, mon père, il m’a donné le prénom de mon grand père, Charles. Et le sien, Bart. J’étais le petit prodige qui savait écrire à l’âge d’un an. J’écrivais tout, et surtout n’importe quoi. Tous ce qui se passait dans ma tête, et que je pouvais entendre de la bouche de mes parents. Avec mon orthographe à moi. J’étais déjà le seul à qui je me fierai dans ma vie, et j’en inventais mes propres mots.
Par la suite, ma sœur est venue au monde, de la même manière que moi, ça il n’y a pas de doutes. Mon père l’aimait, elle, et ça je ne comprendrais jamais pourquoi. J’étais pourtant le fils dont tous les pères pourraient rêver. Mais non, lui, il s’en fichait de moi. Je crois.
Comment savoir si un père vous aime réellement, lorsqu’il ne prouve pas son amour, et veut quand même vous léguer tout son héritage ? Il aurait pu, tout destiner à Jessie. Mais, non, une femme aux commandes ? N’importe quoi. Alors c’était moi, qui devais faire ça, après sa mort, au doux roi.
« L’écriture d’une vie. »
- Charles tu veux faire quoi plus tard ? - Ecrire.
C’est tout ce que j’avais su répondre, parce que c’est tout ce que je savais faire. Je savais écrire, et mon père haïssait ça. Ma mère, elle ? Elle se taisait, tout simplement. Parce que lorsqu’on est une femme dans la famille Van der Woodsen, on se contente de se taire.
Jessie aurait du se taire. Peut être que je l’aurai plus aimé, comme ça. Mais non, elle voulait faire comme moi. Et mon père adorait ça. Il l’aimait plus elle, alors que c’était moi, son modèle. C’était ma sœur, et je la haïssais plus que toute autre chose au monde. Je dis bien c’était ma sœur, parce que maintenant … Je ne la connais plus. Tout simplement.
J’étais celui qui aurait du ressembler à mon père. Et j’avais tout de différent de lui. Peut être que c’était ça, le problème, en fait, j’étais le prince d’un autre roi. Pas celui qui devait être le mien. Alors à 18 ans, je suis parti. Parce que je n’avais pas d’autre choix.
« L’ambition. »
Me coupant du monde est devenant. Chuck Van der Woodsen. Plus question de Charles, ni même de Bart. Petit à petit je devenais celui que j’aurais du toujours être, ou plutôt celui que mon père m’a forcé à être. Ou qu’il ne voulait pas que je sois. Je ne saurais même pas le définir moi-même. Dans tout les cas, je suis devenu une personne que j’aime. Tout simplement.
Je suis devenu journaliste, dans le magasine Imagine. Un journaliste comme un autre. Sauf que moi, j’étais un petit prince. Née avec une cuillère en or dans la bouche. Alors d’un petit journaliste de pacotille, je suis vite devenu un des plus grands. Charismatique Chuck.
J’ai réussi, tout seul. Sans l’aide de mes parents. Mon père pensait que je n’y arriverais pas. Que je finirai par aller lui demander de l’argent, un jour peut être. Mais non, de tout l’argent que j’avais sur mon compte par mon grand père, et par ce que j’avais gagné moi-même. J’ai réussir à devenir, celui que le monde envie.
« Imagine. »
Après six ans à travailler dans le magasine, je suis devenu Rédacteur en chef. Chucky le diable venait d’être promu aux commande d’un magasine tout entier. Les fous, ou alors, justement, ils sont réalistes, les patrons du journal.
Imagine … La fin d’une vie. Ce sera quoi, la fin de la mienne ?
Caractère (3 lignes minimum) :
Lunatique à souhait, je suis quelqu’un a qui on ne peut pas se fier. Réellement pas. Un jour j’aime, l’autre je déteste. Un jour je suis gentil, un autre je suis un connard. Jamais personne ne saura qui je suis réellement. Puisque même moi, je ne le sais pas.
Charismatique. Je suis celui que le monde envie. Celui que le monde voit lorsque j’entre dans une salle. D’un regard, je comprends, j’assimile. D’un toucher, je perturbe, je fais trembler. Vive moi, n’est ce pas ?
Apparence physique (2 lignes minimum) :
Grand, brun, yeux marrons. Je suis de ce qui a de plus banal. Et pourtant, tellement différent des autres. Je suis Chuck, le seul l’unique. Je suis presque persuadé que c’est moi, le mieux de toutes les histoires. Mon physique n’est surement pas le plus beau. Mais il est celui qu’on retient toujours.
5 adjectifs pour décrire votre personnage : Prétentieux, calculateur, manipulateur, changeant, solitaire.
Liens (2 lignes minimum par lien) :
Angela Reynolds (Leighton Meester) : Comment une fille peut être si dure à supporter ? Jamais un mot sans s'en foutre plein le visage, Angie, si tu savais comme tu m'exaspère... Tout le temps ! Amber McMillian (Taylor Momsen) : Une nuit que je n’aurais surement pas du lui donner. Amber est la seule, qui me fait réellement flancher. Putain. Jessie Anna Van der Woodsen (Blake Lively) : Jessie, Jessie, Jessie, ma très chère soeur, chouchouté par mes parents, adorée de beaucoup de monde, aussi étrange que bizarre est le fait qu'on se ressemble tellement... Je la hais. Lucas Hamilton (Penn Badgley) et Simon Stevens (Chace Crawford) : Qui se ressemble s'assemble... Cette phrase ne nous correspond pas, contrairement à : Les contraires s'attirent. Mes meilleurs amis, malgré nos différences... Ashley Bush ( Alona Tall ) : D’abord prise pour une amie, je me suis volé la face. Complètement. Non, en fait, ce que j’ai eu en réalité ? C’est la peur qu’elle comprenne, que je ne suis pas qu’un gosse pourris gâté. Mathilde Teissier ( Mélanie Laurent ) : Ma cousine. La seule et l'unique. Une poupée dans un monde parfait. Une idiote de plus surement. Un jour elle finira par me vendre son ame, je le sais.
DERRIERE L’ECRAN Prénom (facultatif) : Lo' - Lilou Âge : 17 Pays : France
Fréquence sur le forum (/7) 7/7 ( habituellement ) Comment avez-vous connu le forum : Par les autres membres Niveau de Rp (mettez le post d'un autre forum si possible) : Forum : LiNY ; Jason Matthews - Spoiler:
« 14h30. » Je sors de l’hôpital. Je ne sais pas pourquoi je m’inflige tout les jours ça. Peut être pour être sur, qu’elle est toujours là. Que la vie fait toujours son rôle de garce à la perfection avec elle. Et que je me dise, encore une fois, que ma liberté imaginaire m’a été enlevée par la maladie.
C’est égoïste, n’est ce pas ? De réagir comme ça ? Mais pour être honnête, ce n’est pas à ma mère que j’en veux, non, ma mère elle fait partie de ceux que j’aime inconditionnellement. Non, rectification, ma mère, Elle est celle que j’aime inconditionnellement.
Celle à qui j’en veux dans cette histoire, c’est à la vie. Avec ses airs de pétasses. C’est elle, que je déteste, autant que la faiblesse du genre humain. Mit à terre par une maladie cardiaque. Imbécile.
Je m’en veux à moi-même, d’être comme ça. Cette sorte de loque en colère contre des choses que je ne contrôle pas. J’aimerai partir, prendre mon bateau, voguer loin. Très loin. Revivre ses nuits où les étoiles ne faisaient que filer sous mes yeux. Revoir les dauphins, requins. Faux pirates des mers, et autre baleine blanche inexistante. Croire à la petite sirène, juste parce que l’eau à fait une vague qu’elle n’aurait pas du faire. J’aimerai, ouais … Réellement.
« 15h. » Les yeux baissés sur le comptoir que je connais par cœur, depuis le temps, je suis venu ici, histoire de me torturer un peu plus. Et d’attendre la venu de la seule sirène qui vit sur terre. Me torturer, oui, parce que c’est ici, que je suis entré, le soir où je suis revenu. Qu’est ce qui m’avait attiré déjà ?
Le nom, je crois. En premier temps c’était le nom. « Alive. » Vivant. Oui, c’était ça que je voulais être. Vivant. Mais non, ça ne servait strictement à rien, parce que je savais pertinemment que j’allais me briser moi-même. A endosser des responsabilités qui n’étaient pas miennes. Toujours le même problème, être le plus âgé. Et le plus rêveur. - Café ?
Non, non, j’y suis. Voilà, ce qui m’avait attiré ici. « Mathilde. » C’est encore plus beau que « Alive. » N’est ce pas ? Oui, c’est bien ça c’est encore plus beau. Je le sais, moi de toute façon, alors aucune importance, si le monde ne le remarque. De toute façon, je l’ai déjà prouvé, que le monde est con. Encore plus, s’il ne voit pas Mathilde.
Mathilde ? C’est celle qui rend New York encore plus belle. Celle sans qui tout serait noir. Jamais une once de couleur. C’est ce que j’ai aimais en premier, je crois. La couleur qui émane d’elle. Le bleu de ses yeux d’abord ; parce que c’est celui que la mer a les soirs où elle reste calme. Paisible, comme si rien d’autre n’était plus beau que ça. - Oui, ma belle, s’il te plait.
J’avais remis mon masque, avant de lui dire ça. Souris, Jay, elle te regarde, alors tout doit aller bien. C’est ce qu’elles disent les personnes qui vont mal, même lorsque tout fout le camp. Elle réponde, que tout va bien. Elles sont idiotes, ces personnes là. Peut être que si elles criaient leur détresse, elles iraient mieux. Je suis idiot.
Névrosé, sans le vouloir réellement. Je crève d’envie d’aller sur la plage, histoire de crever. Mais non, je me contente de regarde le liquide noir que Mathilde verse dans une tasse avant de me l’amener. Je grommèle entre mes dents un merci presque inaudible.
Elle sait comme je fonctionne, ma meilleure amie. Je parle, lorsque j’en ai envie. Et aujourd’hui, c’est difficile, de parler, je l’avoue. J’aurais presque envie qu’elle comprenne tout ce qui me hante, juste pour aller mieux. Délivre moi, Mathilde, toi seule le pourra je crois. Empêche mes nuits de se voiler de cauchemars, à défaut de se couvrir d’étoiles. Comme avant.
Gardant mon masque sur le visage, j’esquisse un sourire, me rendant compte que dans mes pensées noires, je ne l’avais pas vue arriver. Ma belle amie préférée. Je ramène la tasse vers moi, et pose mes mains de chaque côté de la porcelaine, sans en boire une gorgée. - Tu as pris ton service il y a longtemps, boucle d’or ?
Boucle d’or. La petite sirène. Mathilde c’est elle, la fille du bar, celle qui a toujours le sourire. Celle qui en un regard nous amène dans ce monde, celui où les peines n’existent pas, celui où les cœurs ne sont jamais brisés. « 15h03. »Apprends-moi à être comme toi, s’il te plait. Code : VALIDE by Paige Autre chose à rajouter :Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires ;) |
|