AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. »
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Sujet: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 0:35
Amanda Andrews
«here’s to the crazy ones. the rebels. the troublemakers. the ones who see things differently. while some may see them as the crazy ones, we see genius. because the people who are crazy enough to think they can change the world, are the ones who do.»
DIX-NEUF ANS ✘ CÉLIBATAIRE ✘ ÉTUDIANTE ✘ REDHEARTS
« abuse de mots anglais dans ses phrases, comprend tout du langage informatique alors que les humains sont pour elle un mystère ambulant, préfère Aladdin à Cendrillon, incapable de refuser un défi, n'aime pas vraiment new york mais ne s'imagine pas vivre ailleurs, priorise l'originalité à la conformité. »
✘ LOVE IN NEW YORK ✘
Ma mère hurle, serre les doigts contre la poutre métallique qui muraille le lit qui accueille son sang. Je suis là, quelque part dans le décor, une partie de moi du moins. Le médecin murmure des mots d’encouragement, des débileries - mentionne probablement qu’on m’aperçoit la tête – ce qui force ma mère à serrer les dents en étouffant un énième cri. Mon père souffle à s’en époumoner, pour rendre son inutilité moins flagrante. Troisième enfant, mais pas encore de technique miracle contre l’accouchement. Avant d’être née, j’avais un espoir d’avenir, espoir de carrière. Papa, la tête dans les nuages, souhaitait miraculeusement à ce que naisse en moi un talent inné. Transformer la boule de chair rougeâtre que je suis en une enfant prodige de la musique classique. Son cœur se crispait à entendre un orchestre, sa tête se balançait au mélange des sons harmonieux d’une symphonie. La passion d’une vie, mais si tu savais papa, que la musique classique, ça n’a rien d’aguichant pour une gamine, c’est un truc d’adulte. Et être adulte, ça ne m’intéresse pas. Pas encore, pas vraiment.
C’est comme ça que je suis née, bercée par la neuvième symphonie de Beethoven. Et j’suis désolée papa, mais je n’écrirai pas ma première œuvre à mes six ans, pas plus que je ne glisserai mes doigts contre les crins d’un violoncelle, révélant un quelconque don. Il s’en était remis, bien vite. Trop vite. Après tout, j’étais un petit bébé en santé, « c’était l’essentiel ». Ma mère en pleure, de douleur et de bonheur. Un mélange chaotique entre les deux. Elle souffle « Amanda », en apercevant ma tronche. Ça devait être troublant, la scène en soi. L’épuisement de ma mère, le soulagement de mon père, l’adrénaline de mes deux grands frères et la fierté de mon grand-père. Y’avait que moi pour gâché mon entrée sur scène, ma première minute sur cette terre. Je pleure, indéfiniment, les yeux clos mais la bouche béante et bruyante. Amanda, ça n’a pas duré, on m’appelle Amy. À la maison, comme en dehors. Amanda, c’est pour les cartes et les certificats, juste par principe. N’empêche qu’elle aurait pu y penser avant, et choisir directement Amy. Les heures de travail à me sortir d’elle, de son système, ça n’a pas dû aider, dans un sens.
« Amanda Andrews », fille de Charles Andrews et de Claudia Andrews, sœur de Benjamin et Alexandre Andrews, née le vingt-trois novembre, au Lenox Hill Hospital, New York, Etats-Unis d’Amérique.
Les trois premières années de ma vie n’existent pas dans ma mémoire, incluant ce premier jour. Comme un puzzle incomplet, une partie de vie que je n’ai pas vécu. Rien d’intéressant à me souvenir, je suppose. L’équivalent de cent-cinquante paquets de couches, des litres et des litres de lait, des milliers de dollar en jouets et vêtements. Tout ça, pour trois années méconnues. Vous auriez pu me laisser nue, avec une peluche, pour ce que ça m’a valu, au final. Quelques bribes d’images floues, de moments majeurs dans cette vie inférieure sans challenge. J’ai quelques histoires, ce genre de moments troublants qui ressurgit à chaque Noël, quand mon père a trop bu, ou que la nostalgie s’empare de ma mère trop émotive. Des photos que j’ai appris à comprendre, des vidéos qui me montrent, moi-même, qui j’étais. La caméra toujours là pour me rappeler mon passé, celui méconnu, oublié. J’écoute et regarde attentivement ce bambin qui n’est pas moi, pas vraiment. C’en est un petit malaise qui me perturbe l’intérieur de la poitrine, triste de na pas avoir été là, consciemment, pour me souvenir moi-même de ma petite enfance.
J’ai envie de rire, mais je ne peux pas, physiquement. Ma bouche est asséchée, sentiment étrange qui me donne mal à la gorge. La tête à l’envers, les tempes brûlantes. Mes yeux s’ouvrent sur le téléviseur, une image fixe. L’image de Zelda, le jeu en pause, la musique mélancolique qui trame la pièce, au travers de mes sons étouffés. Les câbles emmêlés sous mon crâne suspendu. J’ai chaud, à voir le monde à l’envers, le corps étalé contre un divan moelleux et immense. Le sang me monte à la tête – ou y descend plutôt, si on se fit au principe de gravité qui s’embrouille soudainement dans mes pensées. Mes cheveux balaient le vide, et la surdose de sucre m’oblige à me redresser. Je cligne des yeux, pour focusser sur le nouveau monde, la vraie version, tout ce qu’il y a de plus normal. Je soulève mes deux mains, ouvertes grandement pour afficher une réponse à la question muette de Shawn. Ces yeux s’arrondissent, capte un peu plus de lumière dans mon sous-sol sombre et déchéant. Il a la bouche pleine, lui aussi, à pousser un nouveau guimauve au fond de sa gorge, pressant contre les autres qui y résident sans bouger. Ses mots ne veulent rien dire, rien de logique finalement. Mais je le devine trop bien pour ne pas capter sa remarque, l'étonnement ombrant son visage entier de toute manière.
SHAWN – « Dich ? Tch’ai débile. »
Le paquet de guimauves à mes pieds, trop entammé. Je mâchouille la masse visqueuse qui réside dans ma bouche, me colle aux dents. Un sourire de fierté s’afficherait probablement contre mes joues si j’en avais la chance. Mais le sucre me colle aux lèvres, l’odeur qui s’infiltre au creux de mes narines par ma bouche béante me donne presque un haut-le-cœur et j’agrippe la poubelle. Plastique usé et décolorée, nonchalamment habillée d’un sac qui protège les déchets de son intérieur. Ma langue chasse la boule blanchâtre qui s’écrase au fond du sac, dans un bruit sourd qui m’oblige une grimace faciale. Je mâchouille le vide, la salive replongeant contre les ports de mes joues, liquide rassurant contre mes gencives gluantes. J’articule des mots plus contrôlés que Shawn en lui tendant la décharge, réservoir de marshmallow prémâchés. Mes doigts agiles s’accrochent à l’emballage à moitié vidé, que je balance sans intérêt sur la table basse qui centre la pièce miniature.
AMY – « So what, j’ai une grande gueule, c’est bien connu. » SHAWN – « Y’a aucune fille de l’école qui aurait relevé le défi tu sais. » AMY – « Bah j’le prends comme un compliment, thanks. »
Je lui ose un sourire convaincu, haussant les sourcils. J’ai raison, une fois de plus. Une énième victoire en poche. Je n’aime pas être comparée, il devrait le savoir. Son ton ne m’irrite pas, peut-être parce que ces intentions transparaissent au fond de ses mots. Je redresse mes genoux contre ma poitrine, attire le fil vers moi, la manette glissant lentement sur le tapis avant de se suspendre jusqu’à mes mains ouvertes, patientes. Je savoure le moment, mais pas assez. Probablement parce que je ne sais pas encore la suite de l’histoire, la conclusion dramatique qui suit la comédie légère. Shawn à seize ans, c’est une version divertissante qui me challenge à pousser mes limites, à berner ce monde rationnel en oubliant un peu leurs principes et leur sérieux. Je soupire en me callant un peu plus au creux des coussins, laissant échapper une phrase qui glisse lentement jusqu’à ses oreilles distraites. Celles de l’ami qui m’écoute différemment, d’un bonheur qui se gonfle dans ma poitrine.
AMY – « Bon, maintenant que j’ai gagné « encore » ton défi, tu voudrais peut-être rééquilibrer la balance et essayer, pour de vrai, de me mettre la raclée à ce jeu merveilleux ? »
Mes iris scintillent dans la noirceur, d’amusement, de challenge. Mes doigts glissent contre les boutons colorés de la manette qui gît naturellement entre mes paumes. J’avais seize ans, mais la mentalité d’une enfant. Peut-être que je n’avais pas envie de quitter mon monde merveilleux de l’innocence et de l’irresponsabilité. J’avais beau vivre à New York, où tout va trop vite, où les jeunes devancent leur entrée dans le monde des adultes, ça ne m’arriverait pas. Pas à moi, pas avec ma mentalité différée. Ça n’est pas dur à remarquer, à voir mes déchéances sans buts, mes objectifs ridicules. Y’avait les autres, petites pimbêches de mon entourage qui rêvaient d’une fausse carte, preuve de leur dix-huit ans irréels. Alors que moi, moi j’aurais tout donné pour une carte qui affiche mes douze ans fictifs, la liberté d’un menu pour enfant dans tous restaurants de la ville, pour chaque parc d’amusements pré pubère du coin. Chacun ses rêves, apparemment.
AMY – « Life sucks. J’ai eu un C. Un C. Fuck off, j’ai pas de C, d’hab. Monsieur Turner m’a dit « tes images sont spectaculaires, mais on dirait que tu crois pas à ton histoire ». Que je crois pas à mes histoires ? »
Je referme la porte derrière moi, d’un pied élevé alors que ma seconde main tient un papier froissé et un dvd. Mes études, continuité de ma recherche d’irresponsabilité, de monde rose. Faire des dessins animés, des personnages hauts en couleurs, forts en émotions. Trouver des morales, des valeurs qu’on inculquera à la prochaine génération, à celles qui viendront après, peut-être même. Pourtant, la correction en rouge m’harcèle les yeux, comme une erreur que je n’ai pas commise. Mes parents ne sont pas là, pas encore. Et je cacherai ma copie bien loin d’eux, parce que l’orgueil de leur faire croire que je peux survivre dans mon monde de gamins est plus important que tout à mes yeux. Un corridor que je longe en traînant des pieds, l’oreille distraite des mots ordinaires et pourtant qui se veulent réconfortants. Jenny a au moins un point pour l’effort, mais je broie du noir et ton gris pâle ne change pas suffisamment la donne.
JENNY – « Bah, tes images sont spectaculaires… » AMY – « Merci Jenny, vraiment réconfortant ton truc… » JENNY – « On peut faire d’la peinture à numéro si tu veux. »
Je lève les yeux au ciel, en étirant tout de même un sourire. Nostalgie d’un moment, à se concentrer sur un truc débile, à chasser le reste de mon crâne. Mais je n’ai pas la patience d’agiter un pinceau sur une toile pré-structurée. Pas l’envie de voir mes mains trembler de panique, à perdre la seule identité que j’ai toujours arborée fièrement. Je me mordille la lèvre inférieure, presque jusqu’à percevoir un goût de sang et je balbutie un truc débile, bien peu imaginatif et coloré, grand contraste à mon humour quotidien.
AMY – « No thanks. J’vais aller m’ouvrir les veines plutôt. Jt’appelle une fois que ce sera fait. » JENNY – « Amy, c’pas vraiment drôle. »
Le silence s’impose alors que je tourne la poignée de ma chambre et m’infiltre dans la fraîcheur de la seule pièce à mon image dans l’ensemble de la maison. Je glisse les papiers sur mon bureau, le dvd léger entre mes doigts nerveux. Le boitier s’étale quelque part, dans l’amas surabondant du secrétaire. Je redresse la tête, observe mon reflet dans le miroir, avant de redresser ma main récemment libre pour mimer un L contre mon front. Sentiment qui me ronge de l’intérieur, d’être une perdante. Ma prochaine phrase est faible, presqu’un murmure qui s’achemine péniblement dans la machine antiquaire qui me colle la joue avec inconfort.
AMY – « Tu crois que j’vais retrouver mes jokes innées et mon talent inventif en dessins animés ? » JENNY – « Tu les avais avant qu’il arrive dans le portrait, non ? » AMY – « T’as sûrement raison. J’vais dans la douche… » JENNY – « Pas de coupage de veines, okay ? Faudrait pas que tu salisses la douche, paraît que le sang, ça s’imprègne dans tout. »
J’hausse les sourcils en étirant l’ombre d’un sourire. Ça me suffit, comme discussion, comme réconfort. Jenny et ses mots légers et simplets. Je déglutis, ravale le malaise qui traîne toujours quelque part, prêt à resurgir. Comme un nuage menaçant sur mon monde éternellement ensoleillé. Mes paroles revivent en énergie, la sincérité de notre échange comme un truc qui ne fade pas. Même pas, à cause de lui. Surtout pas, à cause de lui.
Je fixe le combiné de mon cellulaire, des chiffres clignotants. Quelque chose comme 00 :02 :47. Je déteste le téléphone, des voix qui sonnent rocailleuses, des émotions masqués. Je jette mon portable contre le lit, avant de me laisser choir à ses côtés. Ma tête s’enfonce dans le matelas, mes paupières se ferment sur ma vie merdique. Le pire, c’est que derrière le rideau de la vie réelle, mon monde imaginaire tremble d’insécurité. Plus rien n’a de sens. Mes mains se reposent contre mon abdomen qui se soulève avec la régularité que ma vie a perdu. J’ai dix-neuf ans, mais c’est trop vieux. La vie a jeté sur moi, les problèmes de la vie adulte, et à trop vouloir éviter ce monde effrayant, j’ai fait de moi une pauvre victime sans défense. J’inspire, laisse glisser l’air jusqu’au creux de mes poumons, chose inconsciente qui ne fait pas vraiment de sens. Shawn, petit prénom qui hante mon esprit comme un cancer qui s’étend dans mon organisme. Je serre les poings et détourne la tête. Le bordel de ma chambre me rappelle qu’il n’y a pas que lui, mais j’en déduis que tout découle de lui, et de ses choix. On était supposé être Rox et Rouky, Shawn. Pas Simba et Nala…
SHAWN ROSS ft. gaspard ulliel.
Croire en l’amour, grâce à lui. Perdre tous mes rêves, grâce à lui. J’aurais voulu m’accrocher à ses bras encore longtemps, en transe par la sincérité de son sourire. Quinze ans, perdus dans l’âge des expériences, celles qui forment notre univers, transforment la chenille en véritable papillon. Ses défis m’animent, sa présence ma chahute. Mes intestins se crispent, mais ça n’est rien, qu’un bien-être qu’on ne doit pas gâcher. Seize ans, on gâche tout. Parce que c’est ça, l’expérience de la vie, échouer. On ne réalise pas encore, ses lèvres ont une saveur enivrante, son corps a une sensation de dépendance. Dix-sept ans, simplement. On s’aime, autant qu’on se déchire. À vouloir s’épargner, on s’arrache un peu plus. Jusqu’à ce que les pièces ne concordent plus. Tout éclate. Et il aurait dû savoir, que ça ne se règle pas comme ça. Qu’on n’offre pas véritablement un bijou à une fille pour la récupérer. Ma gorge s’obstrue à fixer la bague, à entendre sa demande, ces paroles clichées qui m’émerveille - de bonheur et de malaise. On avait eu le divorce avant le mariage, nous. Dix-huit ans, je dis non. Non à la vie adulte et non au mariage coupable. Je ne lui demandais pas une fin de conte de fée, juste une vérité qui lui fait trop honte. Honte à toi, honte à moi. Dix-neuf ans, trop vieille, trop jeune. L’amour n’est pas assez, mais j’en ai trop. J’voudrais l’oublier, tourner la page et changer de livre. Mais ce n’est qu’un chapitre et le souvenir du prologue me hante d’envie. Et si on recommençait Shawn, sans cette merde de vie mensongère, retour à la case départ, là où on acceptait l’autre. Coûte que coûte avec un sourire complice.
JENNY FOSTER ft. saoirse ronan.
Jenny, c’est mon passé, la version colorée de mes jours sombres. Le début d’une amitié forte durant les années de l’enfance. Moment critique où nos consciences évoluent, bercées par le jugement des autres. À imiter, dupliquer, prêts à tout pour intégrer la masse. Jenny se foutait de la masse, autant que moi. S’avoir l’une, l’autre ; ça nous suffisait. J’ai souvent flanché à lui dire la vérité, ses secrets n’ont pas toujours trouvés mes oreilles, mais notre relation tenait dans un équilibre surhumain. Elle est là, à rire timidement des mes blagues démentes, alors que j’écoute avec fascination ses théories et histoires extravagantes. C’est simple, dans un sens. De savoir que quelqu’un nous connaît, parfois mieux que soi-même. Elle saura retracer mes réactions, sans besoin d’analyser le pourquoi. Jenny, c’est une enfant comme moi, qui garde encore l’innocence de sa tendre enfance. Et juste pour ça, je voudrais la protéger éternellement, contre n’importe quoi.
MARIA BARTOLI ft. shailene woodley.
Le temps s’écoule et je ne la déchiffre toujours pas. Le mystère de son malheur, du poids qu’elle s’oblige à porter sur ses épaules, qui embrouille sa vision. J’inspire à chacun de ses soupirs, étrange sentiment de me voir au travers d’un miroir. La comprendre, elle et les douleurs de son monde, pour mieux saisir ma propre vie. Ça a commencé par un café, petite confiance mutuelle dressée bien tôt. Ça n’a rien de compliqué, ouvrir les oreilles à ses mots, un refrain inconnu, mais qui sonne familier. Maria, c’est une amie prédestinée, quelque chose d’inconscient. Je voudrais en faire plus, simplement un peu plus. Pour l’aider elle, pour m’aider moi, à travers elle.
✘ SKIN AND BONES ✘
Bonjour New York, je m'appelle Chantal mais je réponds aussi au nom de Chantouu. Je suis un-une fille âgée de 21 ans. Mon personnage est un poste vacant qui porte le visage de Ellen Page. Ce compte est mon premier. J'aimerais terminer en vous disant que Ellen Page rocks, même que sur le gif, elle suit le rythme d'la chanson (a). Mouhahaha. *GOINGG OUTT*
Dernière édition par Amanda Andrews le 19.10.11 23:48, édité 35 fois
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 0:46
Yaaaaaah, une Amy !! Bienvenue et bon courage pour ta fiche. J'espère que tu vas te plaire parmi nous Bisouuus
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 0:55
Merci!
J'ai bien l'intention d'en faire mon petit coin douillet moi ce fo'. Reste plus qu'à pondre une prés' digne de ce nom! (a)
Lexie Van Kaes
Nombre de messages : 61 Localisation : Le monde Humeur : Magique
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:01
Bienvenue ! Plusieurs jours déjà qu'Isa nous parle de toi, j'avais hâte de te voir arriver. Heureuse de voir qu'elle a réussi à te convaincre de nous rejoindre. Surtout qu'une Amy, ça ne se refuse pas Bref, j'espère que tu te plairas parmi nous. Bonne continuation pour ta fiche
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:06
Onh, merci de l'accueil, ça fait plaisir! Et puis, j'fais aveuglement confiance à ses scéna', donc j'ai cédé facilement, (a). Reste à savoir quand j'vais trouver le temps de faire ma fiche... Mais l'encouragement, c'est motivant!
Chop-chop, j'remets mon cerveau au travail, qu'il me forge une histoire miraculeusement alléchante!
REBEL ; without a cause - Admin
Shawn Ross
Nombre de messages : 757 Localisation : Directeur du centre Occupation : Délinquant cambrioleur. Humeur : Heartbroken
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:34
OH MY JACKIE T'es là, t'es vraiment là. Avec ce visage charmant. Merci merci merci merci merci merci Je suis là, s'il y a quoi que ce soit. J'AI TELLEMENT HÂTE DE LIRE. Aussi hâte que ta réponse d'aujourd'hui
Et ton message de bienvenue aura été mon 700e sur le forum Tu tombes à pile
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:40
Je te préviens, je risque d'exploser ta boîte mp à répétition, le temps que j'me forge l'histoire. Mais fais-toi patiente. Parce que c'est fastoche d'être Jackie, ça fait plus d'un an que j'la joue, j'ai cerné haha (a). Ici, c'est un tout nouveau challenge... Mais j'redresse mes manches, et soulève le défi à deux bras!
Ellen et Gaspardd!
REBEL ; without a cause - Admin
Shawn Ross
Nombre de messages : 757 Localisation : Directeur du centre Occupation : Délinquant cambrioleur. Humeur : Heartbroken
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:45
n'importe quoi, Jackie tu l'avais au bout des doigts dès le début! Je plussoie ce smiley, non mais il faut qu'ils jouent ensemble un jour, ce serait trop beau. Ma boîte à MP est sans fond, jamais elle ne vas exploser Ah, et puis fuck off le sommeil, je vais répondre à Jackie, Je suis trop contente que tu sois là que j'ai plus envie de dormir!
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:49
Anh, tu dis. Le genre de film que je louerais à l'aveuglette (non, non, je n'ai pas les films gratuits au club vidéo où je travaille (a)...) C'est certain que ça serait génial. Toute manière, les film à Page ont toujours quelque chose de beau, de wow, de fascinant.
Anh, ça y est, j'fais comment pour dormir moi, si j'sais que t'écris. C'est fucking pas justeee!
[ Est-ce que c'est véritablement madame théière de Beauty&theBeast??? Parce que si oui, l'est merveilleux, merveilleux. J'vais l'abuser comme icone fétiche! ]
REBEL ; without a cause - Admin
Shawn Ross
Nombre de messages : 757 Localisation : Directeur du centre Occupation : Délinquant cambrioleur. Humeur : Heartbroken
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 1:56
JE CRIE À L'INJUSTICE, moi aussi je veux des films gratuits. Parlant de films d'Ellen Page, il faut vraiment que je revoie les anciens. The Tracey Fragments était vraiment génial, oui oui on s'en fout. Si je vois quelqu'un dire que je floode trop, J'aimerais citer la fiche de Charlie qui compte 15 pages de bienvenue-flood. Mouhaha.
Ne dors pas, ne dors pas, laisse toi tenter par le côté sombre de la force
Oui oui, c'est bien elle, je me suis même faite chicaner quand je l'ai ajoutée Mais que je ne l'ai pas appelée Mrs Samovar. oui oui, c'est intense comme ça ici.
Bon bon, j'arrête de te faire peur.
Je vais subtilement faire une annonce générale, te mettant au courant qu'on a une jolie box ici, Si tu décidais de ne pas dormir tout de suite
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 2:01
Shawn Ross a écrit:
Je vais subtilement faire une annonce générale, te mettant au courant qu'on a une jolie box ici, Si tu décidais de ne pas dormir tout de suite
Box? Box? BOX, t'as bien dit BOX? *j’accours!*
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 8:02
Ouiiiiiiiiiiiiiii c'est Mrs Samovar, c'est moi qui l'avais reconnue, je l'ai faite renommer sur tous les forums (sauf le mien, j'ai pas eu le temps, trop de truc à faire. ^^)
Isa, tu floodes trop
(BTW, je ne te redis pas bienvenue, je suis Shanya (et Ashley et Sahara, donc si ces deux personne ne te disent pas bienvenue non plus, c'est juste parce que je ne souffre d'aucun troubles de la personnalité (enfin pas trop ^^)))
Dernière édition par Anthony Johansson le 13.10.11 9:43, édité 1 fois
▌Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires. ; Charismatic Admin
Chuck Van der Woodsen
Nombre de messages : 628 Localisation : New York Occupation : Rédacteur en chef d'un grand magasine. Humeur : Dévastatrice.
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 8:35
Moi en tant que moi et tous mes autres moi, je te souhaite la bienvenue Mes autres moi étant, Emiline, Emily, Camille, Andrew, Jason, Dawson, Aurore rien qu'eux, pour l'instant XD (Bon honte à moi si j'en ai oublié XD) Je suis contente qu'Isa ait réussi à te tirer par ici, des nouveaux membres c'est toujours bien
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 9:31
Mille fois bienvenue Amy ! Ça fait tellement plaisir d'agrandir notre famille LiNY, j'espère que tu te plairas parmi nous. Et puis, avoir une Amanda à nouveau... c'est tout ce qu'on attendait, j'suis heureuse pour toi Cell mate, enfin quelqu'un à aimer !
Quoi qu'il en soit, merci d'être là, en espérant que ce soit pour longtemps.
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Invité
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 13.10.11 20:57
Merci les gens! J'vais essayer de respecter ce que l'ancienne Amy avait fait du perso, que ça soit pas trop drastique... Ça risque d'être difficile un peu par contre de rien changer/ajuster, mais dites-vous que j'suis là pour rester, donc le changement, c'est un investissement durable... (a)
J'me tais, j'file à l'écriture de ma fichee!
REBEL ; without a cause - Admin
Shawn Ross
Nombre de messages : 757 Localisation : Directeur du centre Occupation : Délinquant cambrioleur. Humeur : Heartbroken
Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. » 19.10.11 23:44
J'ai l'immense honneur de valider cette fiche de la mort. Tu es officiellement membre de LiNY Et je me permets de souligner mon égoïste bonheur d'avoir une Amy
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Sujet: Re: AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. »
AMY - « there are no shortcuts to any place worth going. »