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 |- Et la douceur des jours à venir. -| six mois plus tard.

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    ▌Chuck ne joue pas, il enchaine les victoires. ; Charismatic Admin

Chuck Van der Woodsen

Chuck Van der Woodsen

Nombre de messages : 628
Localisation : New York
Occupation : Rédacteur en chef d'un grand magasine.
Humeur : Dévastatrice.

|- Et la douceur des jours à venir. -| six mois plus tard. Empty
MessageSujet: |- Et la douceur des jours à venir. -| six mois plus tard.   |- Et la douceur des jours à venir. -| six mois plus tard. Icon_minitime129.09.11 17:58

Qu'est ce qu'il s'est passé ?

      Six mois dans la vie de Charles Van der Woodsen.


    1er mois.


oublier la mort de son père.
faire sortir Amber de sa vie.
devenir un grand con.

      2ème mois.


    changer d'assistant.
    vendre son hélicoptère.
    signé un contrat avec la chine.


        3ème mois.


      sortir.
      boire.
      baiser.


          4ème mois.


        commencer à changer.
        ne plus dormir chez lui.
        oublier sa vie.


            5ème mois.


          rencontrer Lexie.
          écrire.
          diriger.


              6ème mois.


            hériter de l'empire de son père.
            se mettre en guerre contre le monde entier.
            pourrir la vie d'autrui.


six mois plus tard.

Mon père était mort là était toute la vérité que j'ai mis un temps a accepter. Mon tyran, mon ennemi. Celui pour qui je vivais cette vie avait quitté ce monde. Un roi fini. Mon papa. J'ai bu beaucoup ces jours là, je suis redevenu celui que j'étais, un monstre à supprimer. Un n'importe quoi, tellement grand pour les autres qui ne me comprenaient pas. J'ai craché sur Amber des milliers de fois avant qu'elle ne parte enfin, démon d'une vie dont je ne voulais pas. Déesse par ce corps que je ne toucherai plus. Je hais celui qu'elle voulait faire de moi. Ce n'est pas une fille qui me changera. On m'a détesté plus que ce qu'ils auraient pu imaginer. Et puis j'ai couché avec mon assistante deux jours avant qu'elle n'aille dire oui à l'homme de sa vie. Idiote au cœur trop meurtri.

Elle a dit oui le samedi, le jeudi elle n'était plus là. Dégage de mon monde pour aller évoluer dans celui de ton mari. Un gamin est venu le vendredi, comme s'il attendait que je devienne son nouveau rêve. Un espoir de fou, qu'il disait. Un nouveau con à briser. Un jouet. Pourtant à l'entendre parler j'aurai juré qu'il savait dans quoi il s'embarquait. Il a critiqué mon hélico, le lendemain je le vendais. Parce qu'on ne critique pas quelque chose qui est à moi. Et puis mon hélico, je ne l'aimais même pas. Les chinois ont débarqué, l'après midi même je signais un nouveau contrat, l'exclusivité sur un de leur magasine télé. J'allais le massacrer, ils n'ont même pas réalisé. J'ai acheté un jet privé, pour me venger de ce con qui disait que mon hélico faisait prétentieux. Un avion à soit c'est prétentieux, tu crois ? J'ai voulu le dégager, il a pleuré.

Mon avion m'a servie, je me suis exilé. Pendant un mois. J'ai bu, j'ai vu, j'ai vaincu. Les femmes étaient à moi, parce que même dans un autre pays, tout s'ouvre à moi. J'ai vu l'espagne comme personne ne l'a vu. J'ai vu Londres et tout ces plus beaux quartiers. Je pourrai me vanter d'avoir baiser avec les salopes du monde entier. Une pour chaque ville visité. Je hais encore tout les parfums que j'ai du respirer.

On m’a rappelé, le gosse faisait n’importe quoi au boulot. J’savais bien que j’aurai pas du lui faire confiance. Alors au revoir l’exotisme, j’étais rentré. J’ai bossé, bossé sans même le voir. Mon esprit n’a pas fatigué une seule fois. Et chez moi ? Je n’y retournais pas, je n’en avais pas envie. Pas le besoin. Je ne voulais rien voir qui pourrait me rappeler la vie d’avant. Celle que je n’aurai jamais eu si mon père n’avait pas été là. Je disais l’avoir oublier. J’étais comme l’autre assistant, hanté. Je le hantais, mon père était mon fantôme. Je n’aime pas les gens qui attendent trop de moi. Nouvelles de Ashley, sa vie dérive. Comment avouer que la mienne aussi ? Non, pas de témoignages à pleurer. J’allais bien et elle n’avait besoin que de ça pour continuer.

Avec mes airs de grand je sortais, seul et très bien comme cela. On me reconnaissait, depuis que mon père était passé de l’autre côté. Tout le monde me regardait. Qu’Est-ce que j’allais faire aujourd’hui ? De quel moyen allais-je souiller sa mémoire encore une fois ? Mais je ne faisais rien, je n’avais plus le gout, je crois. Les femmes je ne les regardais même plus, j’en avais bien trop vu. On attendait patiemment que j’annonce que je renonçais à tout ce que mon père avait pu me laisser. Sauf qu’à ce moment là, je ne savais pas. Les avocats ne voulaient pas se décider, et comme ils disaient, ces choses là, ça prends du temps monsieur Van der Woodsen. Un soir elle est arrivée sans que je ne la voit débarquer. Comme je pourrai la haïr pour ça, je le sais. Mais y a un truc qui a fait que je n’ai pas pu. Comme pour le jour où j’avais rencontré Charlie. Je déteste les gens comme ça, ceux qu’on se sent obligé d’aimer. C’est-ce qu’il s’est passé. Chuck c’est un drôle de prénom qu’elle avait dit. J’avais même pas pu répliquer tellement ce qu’elle avait dit était vrai. Chuck, c’est con comme prénom. J’aurai voulu blâmer mes parents que je n’aurai pas pu puisque c’est moi qui me fait appelé comme ça. J’étais con et elle l’avait deviné au premier regard. En plus, elle en avait aucune idée elle, de qui j’étais. Ca me plaisait. Le monde me voyait comme grand, elle juste comme moi. Un nigaud qui dit souvent n’importe quoi. J’avais fanfaronné parce que je sais que je doué dans ce domaine là. Elle m’a ramené dans une réalité que je semblais avoir oublié. Elle promettait des tas de choses rien qu’avec ses yeux, je pouvais pas m’empêcher de le remarquer. Elle était belle dans toute sa douceur. J’en étais soufflé. Elle m’a donné envie de reprendre les choses en mains sans que je ne m’en aperçoive. Mon magasine a reprit de plus belle et mes articles aussi. Je maudissais d’ailleurs le fait qu’ils ne portant pas tous le prénom de Lexie. Ça, c’était un prénom parfait, bien loin de mon Chuck surjoué.

Les avocats ont fini par appelé. Ca y est, le testament avait été révélé. Tout me revenait. Absolument tout. Je n’avais pas compris, mais ce soir là, je suis rentré chez moi. J’ai pleuré, je crois, mais personne ne le sait. J’avais envie d’hurler. De leur cracher à tous mon venin de grandeur. Ma fierté d’être son seul héritier. Même ma mère n’avait eu qu’une maison. Tout était à moi, juste comme ça. Ils ont écrit des tas de papiers sur ça. Et moi. J’en crevais de me dire que tout m’appartenais. Ô si content pour le petit Chucky, ils avaient zappé les connards que mon père était mort il y a tout juste six mois. Et de la mort de son père on ne s’en remet pas. Je voulais y croire, me dire que j’avais changé. Que pour les yeux de Lexie j’aurai tout fait, mais quand je suis retourné au boulot, le lundi, j’ai viré mon associé. Parce qu’il n’était pas d’accord avec le contrat chinois. C’était pourtant simple à comprendre, n’est-ce pas ? A New-York c’est moi qui fait la loi.
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